RDC/Covid-19 : port des masques ou commerce ?

RDC/Covid-19 : port des masques ou commerce ?

Depuis un temps, la RDC connait une baisse sensible des cas de Covid-19. Ainsi, l’ensemble des mesures barrières ainsi que la vaccination ont permis de faire face à la Covid-19.  Cependant, les mesures barrières restent d’application. C’est notamment le port des masques . C’est ainsi que dans certain endroit jusqu’à ce jour le port  des masques est obligatoire.

En effet, la réalité est que dans la plupart des cas, le port du masque n’est obligatoire que de nom. Dans les banques, écoles, églises, supermarché et autres endroits dès l’entrée, tout le monde est obligé d’en avoir. Malheureusement, une fois à l’intérieur, cela ne sert plus à rien. Chose grave, même dans les hôpitaux, la situation est pareille. Peut-on alors dire qu’avec la vaccination, COVID-19 est désormais derrière nous ? Docteur Anatole, Médecin généraliste répond. « La Covid-19 est encore présente. Actuellement, nous n’avons pas tellement plusieurs cas permanents. On peut dire qu’il y a une régression. »

Bien que la vaccination continue et porte déjà ses fruits, la Covid-19 reste malheureusement une maladie comme tout autre. « Nous allons vivre avec comme la tuberculose, le sida et autres maladies. C’est la raison pour laquelle on dit Malgré la vaccination, le port des masques reste obligatoire. Mais il se fait que dans certains endroits et même les centres médicaux, les gens ont tendance à négliger. Pourtant, dans des hôpitaux, les gens devraient rester vigilant. »

Être vacciné ne signifie pas être épargné de la contamination, a dit docteur Anatole. « Il diminue le nombre de contaminations. Une personne vaccinée peut aussi être contaminée. Seulement qu’elle ne pourra pas faire des formes graves. La vaccination stimule l’humanité ».

Geste, barrière ou commerce ?

Il faut dire qu’à plusieurs endroits ce sont les personnes commises à la garde qui vendent les masques. Par conséquente, toute personne qui entre,  doit s’en procurer auprès d’eux. Une façon pour ce dernier de se faire de l’argent.