Lubumbashi: la préservation du bassin du Congo au centre d’un échange

Lubumbashi: la préservation du bassin du Congo au centre d’un échange

La préservation de la forêt du bassin du Congo était au centre d’un échange ce mercredi 14 septembre 2022 au centre Arrupe. Organisé par  le collectif de blogueurs de Habari RDC  en collaboration avec Pultzer center à l’intention des jeunes professionnels. Cette activité avait pour objectif, d’encourager les jeunes à s’engager  dans la préservation de la foret du bassin du Congo, car il y a des opportunités autour des activités de protection de l’environnement. Et les jeunes peuvent le saisir pour gagner de l’argent. De cette manière, les jeunes peuvent gagner de l’argent et amélioré l’environnement. A dit Didier Makal, l’ un des organisateurs de l’activité.  

Selon Didier Makal journaliste et membre de Habari RDC, les jeunes ont un rôle à jouer dans la préservation de la forêt du bassin du Congo. Ils doivent rester éveillés sur leurs communautés ou environnement. C’est-à-dire ils doivent mener un certain nombre d’actions qui les amèneront à vivre dans un environnement sain.   » Quand on constate que la forêt est détruite, les jeunes  doivent s’engager pour lutter contre cette déforestation. Ils peuvent procéder par la dénonciation et proposé des solutions. Les jeunes peuvent se donner à la culture d’arbres fruitiers. Qui demain peut leur apportait de l’argent. Mais en même temps, ils luttent contre la déforestation. Et ils préservent la forêt, par ces arbres vont continuer à jouer leurs rôles, qui est celui de capter le gaz carbonique et produire des richesses naturelles. C’est comme ça que les jeunes peuvent préserver la foret ».

La sensibilisation des jeunes ruraux exige les moyens

Une étude renseigne que beaucoup des jeunes sont informé et sensibilisé sur la question de la protection de l’environnement. Mais la forêt continue à être détruite. Certaines observations indiquent les jeunes sensibilisés vivent dans les grands centres du pays. Et pourtant ceux qui détruisent la forêt en coupant les arbres et en mettant le feu de brousse, sont les jeunes des villages. Et ces sont ces derniers qui ont besoin de la sensibilisation en vue d’être informé. Ainsi Kakel Bumb l’un des panélistes du jour a proposé l’organisation des conférences dans les milieux ruraux. Ceci afin que ces jeunes soient aussi informé sur la question. Ce qui les permettaient de s’approprier la forêt et d’adapter leur pratique agricole à la protection de l’environnement. « Les jeunes citadins doivent se greffer aux ruraux pour leur apporter l’information ».

Mais pour Didier Makal descendre dans les villages demande non pas seulement la patience pour le changement des mentalités, mais aussi, les moyens financiers, logistiques et techniques. « Le plus important, c’est la sensibilisation qui se passe déjà en ville. Cela marque déjà un début. Mais il reste cependant que cette information arrive au village afin que ces jeunes soient éduqué, informer, et former en vue de restaurer la forêt. La vulgarisation de la loi sur la protection de l’environnement est aussi nécessaire ».

Il faut dire, plusieurs jeunes leaders des associations ont pris part active à cette rencontre.