Disparition troublante d’un agent de COMMUS SAS : les faits

Dans la nuit du 13 février 2025, Raphaël Mwilambwe Ngoyi, agent de sécurité de COMMUS SAS, disparait. Cette disparition est troublante. Car elle est survenue dans la nuit sur son lieu de travail, à proximité du village Kapepa dans la province du Lualaba. Depuis, les rumeurs folles circulent sur cette disposition.
Des sources concordantes au sein de la société rapportent que Mwilambwe était en service le soir de sa disparition aux côtés de ses collègues et maîtres-chiens. Ces sources indiquent aussi qu’il aurait quitté son poste aux alentours de 23 h, seul, sac au dos, en direction d’une zone boisée vers Kamoa. Avant sa disparition, il avait eu un échange houleux avec certains de ses collègues. Peu après sa disparition, il aurait envoyé des messages à ses collègues.
La disparition de Mwilambwe a laissé la place aux rumeurs. Selon une vidéo qui circule et est publiée sur TikTok, celui-ci a eu une altercation avec son supérieur d’origine chinoise. Ce dernier l’aurait renvoyé. Tard dans la nuit, il aurait alerté qu’il se sentait en insécurité. Et depuis lors, il est porté disparu. Selon cette vidéo, un dossier est même ouvert au parquet de Kolwezi. Et l’épouse Mwilambwe a Ester en justice COMMUS SAS.
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La réaction de COMMUS SAS
COMMUS nie en bloc ces accusations. La direction précise qu’au moment des faits, l’agent était informé d’une affectation vers un autre poste de travail. Selon la version rapportée par l’entreprise, Raphaël Mwilambwe aurait refusé cette réaffectation et menacé de partir de son propre chef.
La Compagnie minière de Musonoïe indique avoir saisi les instances judiciaires pour une enquête. Le dossier est en cours d’instruction. COMMUS SAS se dit préoccupée par cette situation et attend la conclusion des investigations.
Depuis la disparition de Raphaël Mwilambwe, les spéculations se multiplient. COMMUS SAS appelle à la responsabilité et à la prudence dans la diffusion d’informations sur les réseaux sociaux. L’entreprise souligne l’importance de laisser la justice faire, dans le strict respect des procédures.
Avec MT