Lubumbashi-troubles à l’Unilu :la société civile dénonce des failles dans la gestion des manifestations
Après deux jours des manifestations des étudiants de l’Université de Lubumbashi pour des raisons de coupure de l’électricité , de la desserte en eau potable et du taux du minerval, la thématique sécurité du cadre de concertation de la Société civile dénonce des failles dans la gestion de cette manifestation.
Pour Bertin Tshoz Team Leader de cette thématique dénonce l’incapacité des autorités urbaines et provinciales à gérer les manifestations : « le maire de la ville n’a pas été capable de bien gérer cette crise par une négociation ». « Au lieu de se rendre sur place pour dialogué avec les étudiants qui manifestaient, le maire de la ville a préféré envoyé la police. » a fustigé Bertin Tshoz et d’ajouter , « Pour preuve , ce lundi matin quand on a utilisé des bons négociateurs la situation n’a pas dégénéré. »
La thématique médias estime qu’un droit l’est seulement quand il est réclamé. Les étudiants de l’Unilu ne faisaient rien de mal que de réclamer leur droit d’avoir une eau potable et le courant électrique. L’autorité urbaine ne pouvaient que recevoir ces doléances et les transmettre à que de droit.
D’autres part, Bertin Tshoz fustige aussi l’utilisation des balles réelles par la police. Pour lui, la police a toujours été incapable d’agir avec professionnalisme dans la répression des manifestations. Souvent, elle utilise une force disproportionnée. Ainsi ces failles de la police doivent être améliorer pour arriver à une police comme un service publique et au service de la population.
La thématique sécurité, condamne aussi la société nationale d’électricité SNEL en sigle qui a failli dans sa distribution d’électricité mais surtout pour n’avoir pas su communiquer à temps son incapacité pendant 2 jours à desservir le courant électrique.