Lubumbashi : les abus spirituels, une pratique courante chez certains serviteurs de Dieu

Lubumbashi : les abus spirituels, une pratique courante chez certains serviteurs de Dieu

Richard Mukendi pasteur chargé de l’administration à l’église évangélique la conquête situé sur l’avenu Ndjamena dans la ville de Lubumbashi, a réagi à l’article du magazine la Guardia publié le 08 Décembre dernier, sur « les abus spirituels faites aux femmes », thème de la formation organisé à l’intention des femmes chrétiennes le 06 Décembre 2021.   Le pasteur richard a confirmé que les abus spirituels existent, ils sont compris comme l’utilisation abusive du pouvoir spirituel par les hommes de DIEU.

Les abus spirituels sont des pratiques contre la bible que font certains serviteurs de Dieu en utilisant leurs pouvoirs spirituels.

Selon le pasteur Richard Mukendi, le pouvoir qu’un homme de Dieu est appelé à exercer, c’est un pouvoir qui doit amener les hommes ver Dieu c’est-à-dire au salut. D’où, Un enfant de Dieu doit avoir une discipline basé sur la crainte de Dieu et la recevabilité vis à vis de Dieu. Ici, Richard a donné cette citation de Jésus  qui dit « le serviteur n’est pas plus grand que son maitre », alors si aujourd’hui ceux que ses disent serviteurs font des choses que le maitre n’a pas fait, ils doivent se remettre en question, par ce qu’on ne peut pas servir un Dieu d’amour avec des principes contraires, s’exclame-il.

Face aux  serviteurs de Dieu qui utilisent leurs pouvoirs spituelle pour violer les droits des femmes, Richard Mukendi a réagi en disant que « cette façon d’agir  est un abus du pouvoir », par ce que l’église à un rôle qu’elle doit jouer,  et ce rôle se calque sur la mission de jésus, on ne voie nul part dans la bible où jésus avait fait usage de son pouvoir ou de son autorité  pour abuser des droits des hommes qu’il  rencontré. Richard Mukedi a donné l’exemple de la femme attrapé en flagrance de lit d’adultère. Quand on l’avait présenté devant jésus, celui avait parlé à la femme avec  gentillesse pour ne pas la condamné, mais  en lui disant de ne plus péché.

Quant aux femmes victimes de viols sexuel qu’on amène auprès des pasteurs pour un soutien spirituel en prière, les pasteurs richard a indiqué que ces femmes ne doivent pas faire la repentance, par le fait que ces sont des victimes qui doivent être prises en charge.  Être violé c’est la dignité humaine qui est touché, c’est la psychologie qui est bouleversé, il faut travailler auprès de ces personnes pour les aider à reprendre l’estime de soi en elles. Ces des  personnes qu’on doit accompagner jusqu’à remonter leurs morales.

En rappel, Ruth Bakolabati oratrice à la formation ouvert le 06 décembre 2021 à l’accompagnement des personnes victimes d’abus spirituel. Elle avait expliqué que, on parle d’abus spirituels, lorsqu’un serviteur de Dieu utilise son pouvoir spirituel pour dominer, pour se faire obéir ou pour influencer.