Lubumbashi : la femme doit utiliser ses atouts naturels pour lutter contre le changement climatique
Les femmes responsables des différentes associations d’encadrement des femmes étaient renforcée en capacité hier lundi 07 mars 2022, sur « l’environnement, le changement climatique et réduire les risques de catastrophes ». Omer Kabasele Kabongo coordonnateur national de Green world solidarity et PCA du Groupe de travail climat Redd Rénové (GTCRR ) au niveau national orateur du jour.
Organisé par la thématique genre du cadre de concertation de la société civile du haut Katanga, l’objectif de la séance de renforcement de capacité des femmes était de sensibiliser la femme sur son rôle et sa responsabilité dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Dans son exposé, l’orateur du jour Omer de Dieu Kabasele a passé en revue la situation générale du réchauffement climatique au niveau Africain et national et les causes qui sont : les émissions des gaz à effets dessert, la déforestation et la croissance démographique, pour ne citer que cela.
En abordant le point sur la vulnérabilité de la femme face réchauffement climatique, l’intervenant a expliqué aux participantes que la femme est très vulnérable aux conséquences du réchauffement climatique pour plusieurs raisons. Premièrement, la physiologie féminine en elle-même est un problème. Deuxièmement, le changement climatique vient avec plusieurs conséquences sur presque tous le plan à savoir sanitaire, alimentaire, économique, social, culturelle, anthropologique. Alors, pour Omer kabasele, une femme qui ne pas sensibiliser, ni éduquer, ou qui n’a pas développer les mécanismes d’atténuation, et d’adaptation, présente plus des vulnérabilités que l’homme. « Nous devons prendre en compte la responsabilité que nous avons entant que acteur de la société civile sur les questions de l’environnement pour sensibiliser la femme, l’outillé suffisamment, l’accordé les mêmes chances d’accès aux ressources naturelles, les mêmes chances d’accès à l’éducation, les mêmes chances d’accès aux prises des décisions, les mêmes chances pratiquement dans tous les domaines pour qu’elle soit utiles dans la lutte contre le réchauffement climatique ».
La femme présente beaucoup d’atout que elle-même et l’humanité ignore, Pour qu’elle s’adapte au réchauffement climatique, elle doit être sensibilisé et conscientiser, a dit Omer kabasele. « Nous pouvons boostés les atouts interne, inné, traditionnelle et naturelle de la femme, pour que celle-ci soi en mesure de s’adapter au changement climatique. Nous pouvons aussi être en mesure de faciliter l’accès de la femme à la nouvelle technologie, aux pratiques durable de son développent dans tous les domaines c’est tout à fait possible ».
Omer Kabasele a dans sa présentation, soulève les inégalités dont subit la femme alors qu’elle joue un grand rôle dans la production agricole par exemple. Selon lui, les données statistique ressente renseigne que 1.3 milliard des citoyens de la planète qui vivent dans la pauvreté extrême, 70% sont des femmes. Si on prend les zones urbaine les ménages qui sont pauvre, 40% de ces ménages ont pour responsable une femme. Du point de vu de l’éducation sur l’ensemble de la planète il y a 55% des femmes analphabètes, mais par contre il y a 41% d’hommes analphabète. Or l’alphabétisation c’est un facteur de vulnérabilité d’une couche de la communauté. « Les inégalités sont là, nous devons lutte pour les éradiqués et rendre la femme très habile à jouer son rôle et sa partition dans la lutte contre le réchauffement climatique ».
Par rapport aux responsabilités de la femme dans la lutte contre le réchauffement climatique, Omer kabasele a expliqué que la femme présente beaucoup d’atouts et la capacité de gérer rationnellement les ressources naturelles. C’est pourquoi elle doit utiliser les capacités naturelles qui a en elle, en vue de faire face au changement climatique. « La femme peut utiliser la possibilité inné qu’elle entretien. La femme participe à la collecte de transport et l’utilisation des combustibles, de l’eau comme ressource naturelle, alors elle doit utiliser cet atout pour sensibiliser et éduquer les autres sur le réchauffement climatique. C’est pourquoi la femme est sensibilisé aujourd’hui, pour qu’à son tour, elle transmet aux autres, des générations en génération, pour dire qui éduque une femme, éduque une nation » dit-i-il. Il a conclu son intervention en disant qu’on doit mettre la femme dans des contions idéals, mais aussi compétitive de manière à ce qu’elle soit utile dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Après cet exposé, plusieurs questions était posé par les participantes sur la troisième cause du réchauffement climatique qui est la démographie.