Le haut Katanga en tête des titres miniers octroyés jusqu’en 2021
Selon le rapport annuel, exercice 2021 de la cellule technique de coordination et de planification minière (CTCPM), la province du Haut Katanga est en tête des titres miniers octroyés jusqu’en 2021. Dans cette province, l’on y répertorie 699 . Ceux-ci font partie de 2916 titres répertoriés sur l’ensemble du territoire national. Et c’est jusqu’en 2021.
La province du haut Katanga est en tête. Elle est suivie de la province du Lualaba qui détient 542 titres miniers. Ensuite, il y a la province du Congo centrale avec 233 titres miniers et le Tanganyika avec 231 titres. À noter que 18 autres provinces en détiennent . C’est par exemple, la Tshopo, le Maniema , le Kasaï central , le haut Uele , le Haut Lomami , le Nord Kivu, , le sud ubangi, le Nord Ubangi ; le Mai Ndombe, , le Lomami, le Kwilu, le kwango , la ville de kinshasa, le Kasaï oriental, le Kasaï ; l’ituri ainsi que l’e bas Uele.
272 titres inactifs
Selon le même rapport, sur les 699 titres miniers, 427 sont actifs. La CTCPM renseigne également que 64 autres titres miniers devraient être dépossédés. Car leurs propriétaires ne paie pas des droits dus au trésor public. Il faut noter que ces 65 titres non-actifs font partie du lot important des titres inactifs. Le rapport dénombre 1656 inactifs sur le 2916 répertorié à travers la RDC.
Ce répertoire publié par la Cellule technique de coordination et planification minière (CTCPM), un service rattaché au ministère des Mines, explique aussi que plus de 258 titres miniers ont même été même retirés) à leurs propriétaires. Le gouvernement les accuse du non-respect des engagements en 2021.
Le même rapport de la Cellule technique de coordination et planification minière (CTCPM), signale aussi qu’au cours de l’année 2020, plusieurs autres nouveaux titres ont été octroyés par le Gouvernement congolais.
À noter que selon le Cadastre Minier en RDC, il existe deux manières d’octroi des titres miniers. Premièrement en remplissant des conditions requises. Ou par appel d’offres pour aux gisements dits « réservés et soumis à l’appel d’offres ». Faire face à un certain nombre d’instructions.