Les élèves du lycée Hodari sensibilisés sur le numérique
L’union congolaise des femmes de médias en partenariat avec le bureau Wallonie Bruxelles, a organisé ce vendredi 10 mars, une séance de sensibilisation au lycée Hodari, situé dans la commune Ruashi. « L’usage du numérique chez la jeune fille. » C’est le thème de cette activité. Les élèves de toutes les options de cette école, ensemble avec leurs responsables ont participé activement.
En effet, il y a plusieurs manières d’utilisation du numérique, dit l’intervenant du jour, Didier Makal journaliste de la radio télévision Kyondo.
Dans le cadre de l’enseignement, par exemple,le numérique offre des possibilités d’apprentissage pour les jeunes.
Lorsque l’utilisation du numérique est d’ordre sociale, il brise les distances.
Didier Makal a insisté sur le bon usage du numérique par les jeunes. Ainsi, il a demandé aux élèves de limiter les heures d’utilisation des outils numériques. Par exemple ordinateur, téléphone, ou réseaux sociaux. « Vous devez réduire les heures d’utilisation du numérique. Au besoin, établissez un horaire comme pour la révision de vos cours ».
Comme cette activité s’inscrit dans le cadre de la journée internationale des droits de la femme, l’orateur a exhorté les filles du lycée Hodari à utiliser aussi le numérique en vue de changer le monde . Car, dit-il, vous êtes la relève pour lutter pour les droits des femmes de demain. » En utilisant le numérique, vous pouvez changer le monde au tour de vous ».
En outre, Didier Makal a souligné que le mauvais usage du numérique conduit à la dépression.
Par ailleurs, il a donné quelques conseils aux filles quant à la création et à la protection du mot de passe de téléphone portable.
Il faut noter que l’orateur a fait savoir aux élèves que le numérique est tout simplement un ensemble de des technologies, des appareils et des programmes de l’informatique.
Contente de la matière
Divine Omekongo, élève de la troisième littéraire ne possède pas de téléphone. Elle fait ses recherches au cyber ouvert au sein de son école. Mais, Divine éprouve des difficultés pour effectuer ses recherches sur internet.
« J’ai retenue que nous n’obtenons pas de bons résultats, parce que nous ne nous focalisons pas sur des mots clés . Mais aujourd’hui Mr Didier nous expliqué que pour réduire le champ de recherche, il placer les mots entre les guillemets ».
Notons que l’Ucofem et le bureau Wallonie Bruxelles vont poursuivre cette sensibilisation dans d’autres écoles.