En 2022 , 119 394 survivants de VBG ont reçu une prise en charge
Dans son rapport de l’année 2022, l’UFPA annonce avoir pris en charge plus de cent mille survivantes et survivants des violences basées sur le genre VBG. Ces survivantes disséminées à travers la RDC ont bénéficié d’une prise en charge multisectorielle . Ainsi , ces femmes ont reçu un soutien socio-économique, juridique, phycologique ainsi que médical.
Le rapport renseigne que 92 022 des femmes et des hommes survivants ont reçu des soins médicaux. Ces soins ont inclus l’accès à la prophylaxie post exposition PEP dans les 72 heures. Selon le site https://hr.un.org/ explique que le PEP est un traitement médicamenteux destiné à prévenir l’infection à VIH chez les personnes qui peuvent avoir été exposées au virus lors d’une agression sexuelle.
En plus de la prise en charge médicale , ces femmes ont également reçu un soutien phycologique. Le rapport indique que 95 347 personnes ont pu être soutenues par des assistants sociaux. Parmi elles, 8962 ont bénéficié d’un soutien juridique. Elles ont également été soutenues avec des informations importantes sur les lois . Mais aussi elles ont reçu des informations juridiques et sur la manière d’accéder aux services juridiques.
Soutien économique
Outre ces aspects , certaines d’entre ces survivants ont bénéficié d’un soutien socio-économique. Ainsi, le rapport indique qu’au cours de l’année qui s’est écoulée , 9 228 survivants et survivantes étaient concernés par cette aide. ce soutien a consisté en assistance financière. ce qui a permis à ces personnes de démarrer d’activités génératrices de revenus.
A côté du soutien aux survivants et survivantes de VBG, l’UNFPA s’est également investie dans la sensibilisation dans la lutte contre les violences basées sur le Genre. Ainsi 1 447 337 personnes ont été sensibilisées en 2022. À noter que 34 centres opérationnels ont été mis en place . Ces centres ont offert les services de prise en charge multisectorielle aux survivants et survivantes.
L’UNFPA a également développé des bases des données . Ces bases des données servent à collecter les allégations sur les cas d’exploitations et d’abus sexuels dans les Hubs humanitaires.