Elections apaisées en 2023, plusieurs congolais sont sceptiques
Processus électoral en marche en RDC, après la publication du calendrier électorale, la cartographie, l’heure est à l’étape de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs. Dans certains airs opérationnels, l’inscription des électeurs a déjà pris fin, dans d’autres c’est le ramassage des jetons, dans d’autres province, c’est le début de l’opération d’enrôlement. Ces processus a connu de contestations depuis l’adoption de la loi électorale, mais l’étape d’enrôlement est la plus critiqué , vue les irrégularité enregistré. Ce qui suscite un désespoir chez certain congolais qui crois plus aux élections apaisées en 2023.
A cause du contexte dans lequel l’enrôlement des électeurs s’est passé dans la province du Haut Katanga en général, et à Lubumbashi en particulier, Théophile Buyana coordonnateur national de l’ONG Dynamique communautaire pour l’Emancipation des Peuples autochtones Pygmées ne pense pas qu’il y aura des élections sans violence. Car dit-il, depuis le lancement du processus électorale, il porte déjà les germes des conflits. De fait, Théophile Buyana estime que les autorité doivent prendre courage de reprendre tout le processus, peut importe les moyens que cela pourra demande, pour vu qu’on puisse avoir des élections crédible et apaisées. « Sincèrement Je craint vraiment pour l’avenir de notre pays. Pour le bien du pays, moi, je pense qu’il faudra arrêter le processus et penser à d’autres manière de e faire. Cela même si ça va nus couté des millions des dollars« .
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Les congolais ont intérêt à passer aux élections
Rasette Mapendo présidente de l’association femme en action pour le développement intégral, partage le même avis que le précèdent. Pour elle, les élections apaisées ne sont pas promettante. De ce fait, Rosette Mapendo demande aux congolais de se focaliser sur le processus électoral, malgré ce qui se passe autour du processus, car dit-elle, coute que coute, il faut qu’il y ait élections en 2023. Selon elle, les conflits observé autour par exemple de la loi électorale, sont des conflits provoqué et entretenue par une certaine classe qui cherche a perturber et détourné l’attention de la population de l’essentiel vers les banalités. Et pourtant, cette population a tout intérêt à passé à ces élections. Surtout celle locale, où c’est le peuple qui a le pouvoir en mains.
« Nous ne devons pas etre distrait par rapport aux petits conflits. Nous souhaitons qu’il y ait élections. Et pour y arriver, il faut le respect du calendrier électoral. La société civile doit fournir des efforts pour faire des plaidoyers sensible pour que les élections puisse avoir lieux. Elle doit également multiplier les sensibilisations médiatique, afin la population ne tombe plus dans le pièges des assoiffés du pouvoir ».
Pour sa part, le professeur ordinaire Jeff Mudimbi indique que ce processus électoral est entaché des germes des conflits. Ceci, par ce qu’il y a manque de consensus des organes chargé d’organiser les élections, et des membres chargé de tranché les litiges électoraux (les animateurs de la cours constitutionnelle). Et pour réduire le degré de la violence, il faudra travailler dans le sens de proclamer les résultats qui reflètent les voix de la population exprimer à travers les urnes.