Lubumbashi-Corruption en milieu scolaire: les élèves expriment

Lubumbashi-Corruption en milieu scolaire: les élèves expriment

En marge  de la journée internationale de lutte contre la corruption célébrée ce 09 décembre, le magazine la Guardia à travers sa journaliste Yasmine Musoko, a échangé avec les élèves du collège la référence   sur leurs responsabilités face à la corruption en milieu scolaire.

Il  13H15 nous sommes au collège la référence situé au quartier bel air dans la commune Kampemba. Six eleves acceptent de repondre à notre micro.

Toute joyeuse et sans panique Marlène Ndelela Mwamba qui fait la  quatrième électricité dit que la corruption n’existe pas dans son école. Mais elle considère la corruption comme une tricherie. « S’il arrivait que mes parents me demandent de corrompre si je reprends l’année, je dirais non ». Elle appelle ses camarades élèves à ne jamais corrompre et ne pas ses laissé corrompre.

Un avis que ne partage pas  Matshozi (le nom a été changé) un autre élève finaliste dans la même école. en math physique. Pour Matshozi, la pratique de la corruption est bel et bien réelle au sein de son école. Il souligné qu’il existe des professeurs  qui encourage la corruption. «Il arrive des fois où j’ai neuf échecs sur un total de 12 cours, le titulaire m’appel et me montre cela en me disant apporte autant d’argent, je t’ajoute les point et tu passes la promotion ».

Un autre eleve Kabeya dieu merci lutte contre la corruption en révisant les cours, ce  qui lui permettra d’avoir des bons points pour passer la promotion sans corrompre. Il demande aux élèves qui pratique la corruption d’arrêter car, la corruption affaibli la mémoire et engendre la négligence.

Quant à Mwamba de la cinquième littéraire qui semblé être retissant face au micro dit «  devant une pratique de corruption, « je vais dénoncer ».

Pour Kulumba Tegra de la sixième commerciale, face à la corruption c’est, se former soi-même en révisant les cours tous les jours à la maison pour être intelligent.

Mwalu Alex a quant à lui martelé sur les formes de corruption fréquent dans les établissements scolaires. A savoir : l’argent, l’influence, c’est-à-dire  lorsque les parents ont une connaissance avec l’enseignent ou le promoteur de l’école, mais aussi,  les points sexuellement transmissible surtout chez les filles a-t-il ajouté. Mwalu dit estime qu’il faut dénoncer ces genres des pratiques.

Cette échange entre dans le cadre de la journée internationale de lutte contre la corruption célébrée le 9 décembre de chaque année. Pour 2021, le  Thème était « Votre droit, votre défi : dites non à la corruption ».