Lubumbashi : les élèves du complexe scolaire saint jean Paul 2 sensibilisés sur le harcèlement sexuel
Que le règlement d’ordre intérieur de l’école prévoit une sanction contre toutes formes d’harcèlement au sien de notre école. Ceci est la recommandation élèves du complexe scolaire saint jean Paul 2 du quartier golf météo, sensibilisé ce mercredi par les femmes de l’union Congolaise des Femmes des Médias(ucofem) en partenariat avec le bureau Wallonie Bruxelles sur le thème, « Les harcèlements sexuels dans le milieu scolaire ».
Arrivé à 12h00 à l’école saint jean Paul 2, une enseignante de la place a accueilli et conduit l’équipe de l’ucofem dans une salle de classe où les élèves les attendaient. Une fois entrée, les élèves se sont tenue debout signe de politesse pour accueillir les visiteurs. Au si tôt après, Le préfet a demandé aux enfants de s’asseoir et ainsi, l’activité a débuté.
A travers cette séance d’échange de sensibilisation, les élèves ont apprirent ce que c’est les harcèlements, les formes des harcèlements et ses conséquences, aussi comment les lutter. Ils ont découverts différentes pratiques de harcèlements dont ils ignoraient.
Introduit par Godelieve Nyemba secrétaire provincial de l’ucofem, le harcèlement était compris comme étant une violence qui se répété et qui me mal alaise. Les harcèlements peuvent être verbaux, physique, et sexuel. Nyemba a souligné que parmi les causes du harcèlement, on peut citer la couleur de la peau, un handicap, l’appartenance à un agroupe ou un milieu social défavorisé, et le cyber harcèlement.
De son côté Denise Maheho coordonnatrice provincial de l’union congolaise de femme de medias montré aux élèves les conséquences du harcèlement. Selon elle, les harcèlements dans le milieu scolaire conduit à l’abandon des études, parfois au suicide.
Pour lutter contre les harcèlements, Denise a posé la question aux élèves, comment vont-ils évités ces genres des pratiques au sein de leur établissement scolaire ? Les écoliers ont proposés plusieurs méthodes. Il s’agit de entre autre, saisir la direction, la famille et la justice (tribunal pour enfant).
Il faut dire que les deux intervenantes ont utilisé la méthode participative. L’ activité s’est déroulée en présence du préfet des études