8 mars 2022 : la femme, une partenaire pour le développement durable
De tous les temps, la femme jouit d’une considération particulière ou de certains avantages dus au simple fait qu’elle soit femme c’est-à-dire l’unique partenaire privilégié de l’homme. L’organisation de la société humaine et ce dans toutes les cultures lui attribue la seconde place par rapport à l’homme, par moment pour l’honorer, car les attributions de l’un et de l’autre reposent sur le socle de l’amour du semblable et du souci d’une organisation harmonieuse de la société, celle-ci répondant aux multiples croyances ou au droit.
Ce qu’il faut considérer est que les deux partenaires sont tenus à mener » leur barque » ensemble. La société comme ils mènent leur existence doit impérativement sa construction et son développement aux efforts et aux atouts que la nature à doter à l’être humain et symétriquement à l’homme et à la femme, mais sans qu’il ait des compétences absolument masculines ou féminines.
Par le passé, certaines cultures, croyances, religions ou visions du monde méconnaissaient la femme dans ce qu’elle pouvait offrir compétitivement comme apport au développement de la société. A ce jour, l’honnêteté morale et intellectuelle pousserait l’homme à un repentir sincère car que du temps perdu et des gâchis commis en ayant ignoré la femme dans le beau projet du développement de la société où l’homme et la femme sont contraints de vivre selon la volonté du créateur ?
Certes, à travers le monde, des avancées dans ce domaine sont observables, tangibles et encourageantes. La femme est exonérée de ses » séculaires carcans » lui imposés par son partenaire masculin qui la plaçaient » hors du jeu » pour tout qui concerne le développement de la société pour lui réserver les tâches qui semblent » viles », de moindre importante, n’exigeant pas d’effort physique ni d’intelligence.
L’évolution de la société tient dans une certaine mesure au changement de paradigmes, des représentations mentales qui créent des préjugés sur la femme et de la réforme des lois qui organisent les rapports entre l’homme et la femme. Pour n’avoir pas amélioré les rapports de l’homme et de la femme au sein parades lois, certaines sociétés sont qualifiées de primitives et de conservatrices. Au sein de ces organisations sociales, c’est soit les pratiques traditionnelles coutumières soit le conservatisme des lois qui exercent une oppression sur la femme. Espérons que ces sociétés sont en mutations sur ces plans pour rejoindre la société civilisée.
Pour les sociétés » à la page », nous en sommes au point de l’égalité entre l’homme et la femme pour un avenir durable.
Sans porter préjudice à l’organisation de la société ni à l’ordre au sein de celle-ci, les valeurs humaines sont reconnues et les compétences mises utilement à contribution. Dans le contexte de la lutte contre le changement climatique, et toutes les conséquences néfastes à venir s’y l’on y prend garde, les informations en la matière doivent être partagées entre les deux partenaires pour attendre un comportement conséquent de l’homme et de la femme. Jamais l » homme sans la femme ne gagnera cette bataille et tant d’autres qui concernent leur cadre d’existence commune.