RDC : Concours Médias Henriette Eke à l’intension des journalistes
Le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) en sigle, organise la première édition du Concours Médias « Henriette Eke ». Celui-ci a été lancé depuis le 10 juin dernier à Kinshasa. Le thème , »Éliminer les décès maternels évitables en RDC. » Ceci a l’intension de tous les journalistes. Notamment, ceux œuvrant dans de la Presse audiovisuelle, écrite et en ligne sur toute l’étendue du pays.
Ainsi, tout professionnel de média intéressé par ce concours doit remplir quelques critères. Pour en parler, la chargée de communication UNFPA/Katanga, Jolie Bange était autours des journalistes de différents organes de presse de Lubumbashi ce jeudi 23 juin 2022. Pour y participer, il faut premièrement être journaliste congolais. Ensuite, exercer ce métier en RDC. De plus, être journaliste reconnu par la corporation des journalistes. C’est spécifiquement détenir sa carte de presse délivrée par l’Union Nationale de la Presse du Congo UNPC en possédant la carte de presse. Enfin, s’inscrire sur la plate-forme, https://bit.ly/3N5QRF, avant le 15 novembre 2022.
En effet, un jury composé des professionnels de la communication, de l’information et de la santé est mis en place. Ce dernier est chargé d’examiner les éléments produits par les journalistes. Les meilleurs seront retenus sur base de certains critères parmi lesquels l’originalité et la créativité.
De la classification
En fait, les éléments sont classifiés selon les catégories. À savoir, le timing des productions radio et télévisée doivent avoir entre 2 et 5 minutes. Pour les articles de la presse en ligne et écrite, ils ne doivent pas dépasser respectivement 2000 et 3000 mots (caractères inclus)
Il faut dire que toutes les productions doivent être diffusées ou publiées sur un média de la RDC. Cela, entre le 10 juin et le 15 novembre 2022. Le concours, quant à lui, se déroule du 10 juin au 15 novembre 2022.
Retenons qu’Henriette EKE fut ancienne conseillère sage-femme de l’UNFPA de 2010 à 2020. Elle fut également obstétricienne de formation. Elle a passé 40 bonnes années de sa vie à exercer la profession de sage-femme en RDC avant sa mort le 27 novembre 2020.