Felix Tshisekedi tient au respect des cycles électoraux

Conformément à l’article 77 de la constitution, le Chef de l’Etat Felix Tshisekedi s’est adressé à la nation ce samedi 10 décembre  2022.  Devant les congrès réunis, le chef de l’Etat a également reçu le serment des hauts magistrats. Felix Tshisekedi a fait un bilan de ses actions au cours de cette année. Il a surtout insisté sur le respect des échéances électorales.

Pour Felix Tshisekedi, les élections auront bel et bien lieu en 2023. »Je tiens à préciser que pour consolider notre jeune démocratie, le respect des cycles électoraux demeure une exigence », a-t-il dit dans son discours à la Nation. Et d’ajouter: » Ainsi donc il est fondamental de pouvoir se mobiliser pour que les prochains scrutins soient organisés dans le délai constitutionnel. Je m’étais solennellement engagé pour la réussite des élections que nous voulons tout inclusives et apaisées».

À noter qu’au chapitre des élections, la commission Nationale et indépendante a déjà prevue l’organisation des élections pour 2023

D’autres questions aussi

Il faut dire qu’en plus des questions liées aux élections , le président de la Republique a également évoqué d’autres questions. C’est notamment la gratuité de l’enseignement et le programme de 145 territoires. Sur la gratuité par exemple, il insiste sur le fait qu’il  l’a rendu effectif.

Autre point abordé est la magistrature. Il a expliqué par aussi sur le recrutement des nouveaux magistrats. »5000 magistrats ont été recrutés et seront affectés. Prés de 300 magistrats injustement relevés, ont été réhabilités ».Sur la qualité des décisions de justice, « J’insiste d’une part, sur le renforcement de la sanction contre les magistrats véreux », dit Félix TshisekediCe discours de plus de  deux heures a touché également d’autres questions. C’est notamment la  securité, les finances,la  santé, l’éducation , les investissements et  tant d’autres questions. Sur la sécurité par exemple il a  dénoncé l’agression dont le pays est victime. Il a pointé du doigt le Rwanda  comme principal agresseur.