RDC: halte à l’impunité des comportements anticonstitutionnel
L’Institut de Recherche en Droits Humains (IRDH) se dit préoccupé par l’impunité des comportements contraires à la Constitution de la part des partis politiques en République Démocratique du Congo. L’IRDH a exprimé son inquiétude dans un communiqué publier ce jeudi 25 mai 2023 à Kinshasa.
En parlant de l’impunité constatée, l’IRDH a soulevé cinq faits . C’est par exemple, l’ordre que Martin Fayulu Président du parti politique EciDe a donné aux manifestants le 20 mai. Dans une vidéo on l’entend dire en lingala « prenez des pierres et attaquer les éléments de la Police. Cette institution prend en exemple aussi , le cas de deux membres du parti politique Ensemble pour la République Daniel NSAFU, et Mike MUKEBAYI. Ceux-ci qui procédé à d’incitation à la haine contre le groupe ethnique Luba n’a pas été oublier.
L’incitation à la haine à bannir
De ce fait, l’IRDH dénonce toute forme d’incitation à la violence et à la haine tribale, pendant la pré- électorale . Car, le leader politique devient exemplaire. Et, son attitude, ses actes, ses paroles reflètent le souci de l’ordre public et les bonnes mœurs.
« Les rassemblements électoraux se déroulent conformément aux dispositions légales relatives aux manifestations publiques.
Aucun individu, parti politique ni regroupement politique ne peut inciter quiconque à commettre un acte de nature à entraîner des violences. Mais aussi des actes qui menacent ou privent d’autres personnes de l’exercice de leurs droits ou libertés constitutionnellement garanties » . Fait remarquer l’IRDH.
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L’IRDH évoque le cas de Noël TSHIANI MWANDIAVITA, Président du parti politique Force du Progrès et sa proposition de loi sur la double nationalité. Pour l’IRDH, cette nouvelle disposition est contraire aux principes constitutionnels d’exclusivité de la nationalité congolaise. En plus il évoque aussi les la jeunesse UDPS. il s’agit notamment des jeunes de force du Progrès et la Brigade Spéciale UDPS (BSU) qui se sont attaqués aux opposants, pendant des manifestations politiques publiques.
Il faut noter que les discours de haine sont à bannir . car ils ne favorisent pas la paix
