campagne électorale: un bilan sombre
La campagne électorale pour les élections générale de 2023 en DRC, a été marquée par des violences. Notamment, ’intolérance politique généralisée, la destruction méchante d’affiches. De plus, les accusations, les injures, et l’incitation à la haine et la mort d’hommes. Les organisations de droit de l’homme comme Instit de Recherche en Droit Humain, trace un bilan sombre.
En effet, hormis les tentions observé à Moanda, Fungurume, Kinshasa, et Kasumbalessa, l’IRDH a répertoriée l’assassinat par balle de deux candidats députés. L’un au Nord et l’autre au Sud Kivu. Elle a souligné le meurtre d’un candidat, pendant la manifestation politique à Kindu. Cette organisation de droit de l’homme est revenue sur la chasse à l’Homme au village Lualaba et à la cité de Fungurume. Elle a noté la création d’une nouvelle rébellion à Nairobi, par Corneille NANGAA ancien Président de la CENI. Celui-ci s’est associé aux terroristes du M23.
« L’IRDH condamne les deux interviews accordée au Vice-Premier Ministre de la Défense, M. Jean-Pierre BEMBA et, l’autre, a été accordée à M. Francis KALOMBO du parti Ensemble. L’émission était diffusée sur la radio top Congo. Selon IRDH déplore les proposes de ceux hommes politiques caractérisé par des injures ».
Dans un rapport publier par Human Rights Watch sur l’incident majeur survenu le 7 novembre à Kasumbalessa entre les partisans de l’UDPS, et ceux de Ensemble parti de l’opposition. Le bilan de ces violences a fait état de six personnes blessés. Deux femmes agressée et trois autres violée, sexuellement. On avait noté aussi, cinq agents de police blessés.
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Campagne ou règlement de compte?
Le centre internationale pour la promotion de développement des droits de l’homme, CEIPEDHO, de son coté a également déploré les violences enregistré pendant la campagne. Pour cette organisation, la campagne électorale 2023 était un moment de règlement des comptes Politico, Clanico, Tribalo, Ethnico et Régionaux.
Au regard de toutes les tentions observé à travers le pays, la CIPDHO appel les services de sécurité, au renforcement de des dispositifs la sécuritaires. Elle citée la bille de Lubumbashi, Kasumbalessa, Kipushi, Mokambo, Kolwezi, Fungurume et Pweto.
« Le CEIPDHO appel les Autorités tant Policières, Renseignements Civiles que Militaires à doubler la vigilance. Ceci, en faisant la patrouille à partir de la journée du 19 jusqu’au 21 Décembre 2023. De surveiller les mouvements des personnes. Il sied de noter que certaines résidences des personnes suspectes doivent urgemment faire l’objet des perquisitions systématiques ».
Il faut noter que les deux organisations non gouvernementales de promotion et de protection des droits de l’homme ont chacun fait des recommandations. Par exemple l’IRDH, a invité les congolais à voter des nouvelles personnes, sociables, qui ne sont pas sur des listes des familles biologiques. Mais qui assument leurs partis ou regroupements politiques.
Les deux organisations, la CEIPEDHO et l’IRDH, ont publiée chacun un communiqué de presse ce 19 décembre. Dans leurs documents, elles ont fait rapport de leur monitoring sur les violences enregistré pendant la campagne électorale qui s’est clôturée ce 18 décembre.