Des ONG demandent à Tshisekedi de s’occuper de la COMINIERE

Des ONG demandent à Tshisekedi de s’occuper de la COMINIERE

Les ONG de la Société Civile demandent au président Tshisekedi de s’occuper du cas de l’entreprise « La congolaise de l’exploitation minière COMINIERE SA. Les dirigeants de cette entreprise sont accusés d’entretenir la confusion autour du central hydroélectrique de Mpiana Mwanga.

Ces ONG ont rendu public un communiqué de presse commun le 11 dernier. Elles accusent aussi les gestionnaires intérimaires de cette entreprise. Pour elles, ils sèment  la confusion sur un appel d’offre. Celui portant  réhabilitation de la centrale hydroélectrique de Mpiana Mwanga situé dans la province du Tanganyika.

Selon le communiqué signé par Timothée Mbuya avocat et activiste des Droits humains, les travaux que le gouvernement mènent depuis 2019 avec une firme internationale sont une stratégie mal conçue. Et dont l’objectif consiste à bloquer la relance industrielle dans le Tanganyika.

« Il y a l’incapacité pour le directeur général a.i de l’entreprise cominiere d’assurer la protection du patrimoine minier de l’État dans l’exploitation du lithium congolais ». Indique le communiqué. Celui-ci indique par ailleurs  que  » les géants Zijin, Dathomir et des Canadiens se battent maladroitement chez United Cominiere ».

Nommer des mandataires capables

Pour les auteurs dudit communiqué, le président de la république Félix Tshisekedi doit  d’ouvrir l’œil. « La gestion maladroite des actifs miniers et énergétiques du pays par le comité sortant de la Sokimo et les gestionnaires actuels de la Cominiere est contraire à votre politique de développer nos 145 territoires par la base par nos ressources naturelles ».

Ils exhortent, à cet effet, le président Tshisekedi à prendre urgemment des mesures.  Ceci, pour remplacer des mandataires de cette entreprise. Car , il s’agit de  préserver les actifs de cette entreprise. Parce qu’il faut sauver « ce qui peut encore rester au sein de cette entreprise du portefeuille », dit encore le communiqué.

Les ONG pointent d’autres entreprises. C’est notamment , Kisenge-Manganèse, Sodimico, Sakima et le cadastre minier. Selon la même source, leurs gestionnaires devaient également être remplacés par des nouvelles figures.